Description
Un modèle revu et corrigé.
Même s’il ne s’agit pas d’un nouveau modèle à proprement parler, cette T270 a été largement revue et modifiée cette année, en collaboration avec le célèbre luthier Maurice Dupont. Ainsi, c’est tout le processus de fabrication qui a été révisé par l’artisan qui a contrôlé et remanié chaque étape de la production et surtout instillé son savoir-faire inégalable. L’épaisseur de la table d’harmonie a été repensée afin de permettre à l’épicéa Engelmann qui le compose de vibrer avec encore plus de précision.
Les techniques de fabrication d’un MOF !
Mais ce sont également le vernis, le barrage et surtout une sélection minutieuse des bois qui ont prévalu à la conception de ces Tramontane T270 nouvelle mouture. Au résultat, une guitare remarquable qui allie les raisons de son succès antérieur au tour de main d’un Meilleur ouvrier de France ! Sonorité intense avec un équilibre basses/aigus remarquable tout en préservant les médiums, responsables du caractère chaleureux de l’instrument. Des caractéristiques que l’on retrouve dans chacune des déclinaisons du modèle.
Des variantes pour tous les goûts.
Ainsi, les dreadnoughts (T270D et T270DCE), disponibles en acoustique ou en électroacoustique (avec pan coupé) qui montrent une belle puissance qui conviendront idéalement aux guitaristes tout-terrain qui aiment à aborder à peu près tous les styles de musique. Et puis, le petit modèle parlor (T270PE) dont les dimensions ne sont pas sans rappeler celles d’une guitare classique, qui ravira les amateurs de finger-picking et de jeu aux doigts tout en finesse, mais aussi les petits gabarits ou les enfants. Et enfin, encore plus délicat, aussi bien dans ses sonorités que dans sa facilité de jeu, la version Slim, c’est-à-dire avec une caisse peu profonde.
Protéger la planète, ça compte aussi !
Et au nom de la protection de l’environnement, ces modèles présentent chevalet, touche et tête de manche en brownwood, le meilleur moyen de protéger les forêts tropicales en évitant leur surexploitation. Rappelons, pour mémoire, que le brownwood se compose d’essence de pins à cycle court qui est séché puis imprégné avec des agents catalyseurs et de pigmentation puis, lors d’une deuxième étape, de résine avant d’être compressé pour perdre jusqu’à 40% de sa masse et gagner ainsi en densité. Au final, on obtient le strict équivalent de l’ébène ou du palissandre, sans aucune perte de qualité ! Lâg se veut écolo et le démontre !
